Les analyses ont révélé que les individus qui ne ressentaient pas de solitude avaient tous une manière similaire de traiter le monde qui les entoure. En revanche, les personnes seules interprètent non seulement les choses différemment de leurs pairs non solitaires, mais elles les voient également différemment les unes par rapport aux autres.
Un exemple concret est la présence de neurones libérant de la dopamine, un neurotransmetteur capable d’induire des sensations de plaisir, dans le striatum ventral. Cela illustre une des façons par lesquelles le sentiment de connexion peut engendrer des effets positifs. Par ailleurs, le cortex insulaire antérieur joue un rôle essentiel dans les interactions sociales et les émotions, y compris la solitude.