Des chercheurs travaillent sans relâche à des alternatives viables au don d’organe. Aux États-Unis, des scientifiques ont ainsi mis au point un cœur (ou plutôt un ventricule cardiaque) capable de pomper 5 à 210 fois plus de volume de fluide que les cœurs imprimés en 3D déjà existants.
Alors que l’on observe actuellement une pénurie de dons d’organes, la bio-impression pourrait cependant un jour combler ce manque et devenir une alternative sérieuse au don. Pour l’instant, la viabilité d’une telle entreprise n’est pas facile à établir, bien que la recherche progresse.
Les chercheurs ont eu recours à une encre en hydrogel infusée de fibres de gélatine. Or, l’intégration de fibres permet à la structure de conserver sa forme 3D immédiatement après l’impression. Ainsi, il n’y a aucun besoin de matériaux de support ou d’échafaudages supplémentaires.