Il y a plus d’une quinzaine d’années, un anthropologue américain affirmait que si l’Homme n’est pas souvent une proie, il ne se trouve pas pour autant au sommet de la chaîne alimentaire. Il évoquait même à l’époque le « niveau trophique plutôt bas » de l’humanité.
Selon Robert Sussman, l’Homme n’appartient pas à la catégorie des consommateurs quaternaires et ne se trouve donc pas en haut de la chaîne alimentaire. L’homme se trouverait au niveau d’autres animaux comme les cochons et les anchois, un niveau trophique finalement plutôt bas.
Ainsi, l’humain est assez loin du sommet de la chaîne alimentaire, mais y occupe une place assez « clémente ». En effet, il vit la plupart du temps dans des zones où les grands prédateurs ne sont pas présents.