Une sécheresse historique essuyée en forêt amazonienne a récemment permis la découverte de pétroglyphes précolombiens gravés par des humains il y a environ 2 000 ans. Ces sculptures anciennes étaient jusqu’à présent submergées dans l’un des plus grands fleuves de la région, à l’endroit où les eaux sombres du fleuve Negro se rejoignent avec le courant trouble du fleuve Amazone.
Des découvertes similaires avaient déjà été faites en 2005, 2009 et 2010 lors de précédentes sécheresses ayant abaissé le niveau d’eau du fleuve Negro. Ces pétroglyphes sous-marins avaient ensuite été officiellement enregistrés par l’Institut national du patrimoine historique et artistique (IPHAN) du Brésil.
Lire la suite sur SciencePost