Ainsi, les chercheurs ont décidé de mesurer la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) des participants lorsqu’ils entendent des erreurs grammaticales, afin de mieux comprendre la relation entre la cognition et les réponses physiologiques.
En utilisant un capteur de fréquence cardiaque attaché à leur doigt, 41 adultes anglophones britanniques ont participé à une étude où ils ont écouté 40 échantillons de discours en anglais.
La moitié de ces échantillons comportait des erreurs grammaticales, telles que l’ajout inapproprié d’un « a/an » ou l’omission du « the » lorsqu’il était requis.
En d’autres termes, plus les participants entendaient d’erreurs grammaticales, plus leur fréquence cardiaque devenait régulière, et donc plus leur niveau de stress augmentait.