La semaine dernière, des rapports alarmants évoquaient une pneumonie non diagnostiquée chez des groupes d’enfants, des hôpitaux débordés et des préoccupations quant à une éventuelle dissimulation d’une épidémie dans les régions du nord de la Chine, notamment à Pékin et dans la province du Liaoning. Cependant, selon des experts indépendants et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il semble probable que la Chine soit confrontée à une résurgence d’infections respiratoires communes. Comment l’expliquer ?
Cette réduction de l’exposition a créé une dette immunitaire chez les enfants, les laissant moins préparés à affronter ces agents pathogènes lorsqu’ils ont été finalement réintroduits dans l’environnement après la levée des restrictions. En d’autres termes, leur système immunitaire n’avait pas été stimulé par des infections fréquentes, les rendant plus vulnérables à ces pathogènes lorsqu’ils ont recommencé à circuler librement.