De novembre à février, les habitants de New Delhi se préparent au « Delhi smog », un brouillard de pollution de plus en plus épais, responsable de nombreux symptômes respiratoires, voire de décès prématurés. Face à ce constat alarmant, des bars à oxygène commencent à se développer dans la capitale.
Trois activités sont tenues pour responsables de cette pollution alarmante : la circulation routière intense, les rejets industriels et les fumées agricoles des brûlis des régions voisines. En effet, chaque année en novembre, les agriculteurs de l’état du Punjab brûlent de la chaume pour nettoyer leurs champs après la moisson, générant des fumées sans précédent parvenant rapidement jusqu’à la capitale.
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