Il a alors décrit que ces particules résultaient de la fragmentation de plastiques plus volumineux dans les océans. L’article a suscité une attention internationale inattendue, contribuant ainsi à la recherche sur les microplastiques.
Aujourd’hui, Thompson soutient que pour résoudre le problème de la pollution plastique, nous devons à tout prix changer nos habitudes. Selon lui, même si les efforts de nettoyage et les plastiques biodégradables constituent des options attrayantes, ils ne nous sauveront pas.
De plus, la présence de microplastiques aggrave la situation. Les humains les inhalent et les ingèrent. En effet, ils sont notamment présents dans les fruits de mer, l’eau, la bière, et même le sel. Une étude a révélé qu’un adulte moyen absorbe environ 2 000 microplastiques par an, rien qu’avec la consommation de sel. Toutefois, les effets exacts des microplastiques sur notre bien-être font encore l’objet de débats.