Les bernard-l’ermite remplacent leurs coquilles par un déchet plastique

Si l’impact de la pollution plastique sur les animaux marins est déjà bien connu, un nouveau comportement parmi les crustacés vient d’être révélé par une équipe de scientifiques polonais : les bernard-l’ermite, ces décapodes dépourvus de carapace, seraient de plus en plus nombreux à élire domicile dans un déchet en plastique.

Dépourvu de carapace, le petit animal doté de cinq paires de pattes nécessite une protection interne pour protéger son abdomen. La plupart du temps, le bernard-l’ermite s’abrite à l’intérieur d’une coquille d’escargot, voire d’une éponge de mer ou d’un morceau de bambou.

Du fait de la pollution plastique qui ne cesse de frapper les plages et les océans, de plus en plus de pagures utilisent des déchets (capuchons de stylos ou bouchons de bouteille en plastique) pour s’abriter.

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