Si l’on en croit les récentes études sur le sujet, le cancer ne serait pas tant une affaire d’hérédité ou de vieillissement cellulaire. Ce serait plutôt nos modes de vie modernes qu’il faudrait réviser pour écarter tout risque de maladie.
Les aliments industriels trop sucrés ou trop salés, bourrés de conservateurs et de pesticides ne sont certainement pas ce qu’il y a de meilleur pour la santé, augmentant les risques de contracter un cancer avant même d’atteindre le troisième âge.
Les résultats de leur étude leur ont ainsi permis d’affirmer que le groupe de femmes qui respectaient une hygiène de vie saine et équilibrée (pas de tabac, d’hormones artificielles, de nourriture industrielle ou d’alcool, exercice physique régulier, stress réduit, etc.) n’avaient pas plus de risque de développer un cancer que la moyenne des femmes américaines, en dépit de leur mutation génétique « défavorable ».