Dans le domaine des batteries, une percée technologique récente pourrait révolutionner l’autonomie des véhicules électriques. Les chercheurs ont exploré l’utilisation de minuscules particules de silicium pour exploiter la capacité de charge élevée des anodes de silicium dans les batteries lithium-ion. Confrontée au problème d’expansion excessive du silicium lors de la charge, lequel peut endommager la batterie, l’équipe a adopté des particules de silicium à l’échelle micrométrique associées à un électrolyte en gel élastique.
En général, une batterie fonctionne grâce à un processus électrochimique entre deux électrodes (l’anode et la cathode) plongées dans un électrolyte. Lorsque la batterie est connectée à un circuit, des réactions chimiques se produisent entre ces composants, ce qui génère ainsi un flux d’électrons à travers le circuit et crée ainsi un courant électrique.