Bien qu’elle fasse trois tonnes en moyenne, la femelle éléphant n’affiche pas la carrure des mâles, plus imposante. C’est également la même chose chez la lionne, plus menue que le lion. Ces différences de physique, que l’on désigne comme le dimorphisme sexuel, tendent à renforcer cette image bien ancrée du physique chez le mammifère mâle qui en impose par rapport à celui de la femelle. À son époque, Charles Darwin était d’ailleurs persuadé que cela fonctionnait ainsi. Pourtant, une étude récente remet en question cette croyance qui a la dent dure, allant même jusqu’à démontrer que les exemples ci-dessus sont plus l’exception qu’ils ne constituent la norme.
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