Anxiété : un interrupteur génétique identifié pour aider à la contrôler

Selon la Fondation pour la santé mentale, au lendemain de la pandémie de Covid-19, l’anxiété est en augmentation et une personne sur cinq ressent ses effets la plupart du temps ou à chaque instant. À cela s’ajoute le fait qu’un tiers des patients qui prennent des médicaments anxiolytiques ne vivent pas de rémission durable de l’anxiété, devant ainsi en subir les symptômes sur le long terme. Et s’il était possible de désactiver l’interrupteur à stress qui met l’esprit et le corps sous pression pour retrouver une paix mentale longue durée ? C’est en tout cas une possibilité en laquelle croient fortement les chercheurs de l’Université d’Aberdeen, en Écosse, qui viennent justement de découvrir l’interrupteur en question.

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