Aux États-Unis, les autorités fédérales ont dévoilé une affaire qui met en scène un éleveur. Ce dernier a modifié génétiquement ses moutons de manière illégale à l’aide de matériel génétique et d’embryons d’animaux importés d’Asie. L’objectif ? Obtenir des animaux hybrides et massifs.
Au centre de cette affaire, nous retrouvons Arthur Schubarth, un éleveur du village de Vaughn (Montana) propriétaire de 215 têtes de bétail dites « alternatives ». Il s’agit de bêtes hybrides qui se situent entre le mouton, la chèvre et certains grands mammifères que les chasseurs sont susceptibles d’apprécier.
L’affaire débute en 2013 lorsqu’un ami d’Arthur Schubarth importe illégalement depuis le Kirghizistan du matériel génétique issu d’un argali (Ovis ammon), le mouton sauvage le plus imposant sur Terre. S’en suivent de nombreuses expérimentations dignes du Dr Frankenstein, incluant notamment 165 embryons clonés spécialement créés pour lui par un laboratoire obscur basé en Chine.