Selon lui, il est plus efficace de demander aux gens de décrire ce qu’ils pensent de leur vie plutôt que de simplement énumérer les faits, puis de poser beaucoup de questions de suivi.
Les questions qui se limitent à des faits basiques telles que « D’où viens-tu ? » ou « Dans quoi travailles-tu ? » peuvent rapidement mettre fin à une conversation. Elles ne permettent pas d’explorer les valeurs ou les expériences personnelles. Elles n’incitent pas non plus la personne à s’ouvrir à vous.
En revanche, les personnes très douées pour faire la conversation les posent de manière légèrement différente. Elles disent par exemple : « Qu’est-ce tu aimes dans le quartier où tu vis ? ou « Quelle a été ton expérience la plus marquante à l’université ? », encouragent les autres à partager leurs préférences, leurs croyances, et à décrire les moments marquants ou transformateurs.