Elle souligne également que le centre offre une seconde chance aux victimes du commerce illégal d’espèces sauvages, sensibilise la communauté locale à la protection de l’environnement et propose des emplois alternatifs aux anciennes communautés de chasseurs.
Laura Craddock a précisé : « Nous offrons une seconde chance aux victimes du commerce illégal d’espèces sauvages, sensibilisons la communauté locale à la protection de l’environnement et fournissons des emplois alternatifs aux anciennes communautés de chasseurs. »
Lire la suite sur SantePlusMag