Face aux dispositifs concurrents, l’Autopilot de Tesla a perdu du terrain en ce qui concerne l’implémentation du système. La firme a non seulement refusé le volant capacitif, mais a également mis en place une sorte de permis à points qui bloque l’accès à l’Autopilot. Désormais, Tesla donne la possibilité de récupérer ces points.
Tesla exige que le conducteur tourne le volant toutes les dix secondes environ afin de montrer sa vigilance ou encore de réenclencher l’Autopilot pour chaque dépassement. De plus, le système intègre une caméra intérieure qui interprète la position de l’utilisateur. En cas de mauvais geste, parfois même anodin, la sanction tombe : l’Autopilot se désactive et force le conducteur à s’arrêter pour le remettre en marche.
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