La dépression, longtemps comprise comme un trouble mental homogène, révèle désormais sa complexité biologique grâce à une nouvelle étude révolutionnaire. Des chercheurs ont en effet identifié six sous-types biologiques de dépression, révélant pourquoi certains patients ne répondent pas aux traitements conventionnels comme les antidépresseurs et la thérapie par la parole.
Ce trouble peut varier en intensité et en durée, allant de quelques semaines à plusieurs années. Il peut également se manifester de différentes façons chez chaque individu, d’où la diversité des présentations cliniques de la dépression. Les facteurs déclenchants peuvent en outre être multiples, incluant des événements stressants, des changements de vie significatifs, des facteurs génétiques et des déséquilibres chimiques dans le cerveau, notamment au niveau des neurotransmetteurs comme la sérotonine, la noradrénaline et la dopamine.