Aujourd’hui, malgré quelques réfractaires, un nombre grandissant de parents adoptent la parentalité positive du fait de la réalisation croissante que les châtiments corporels (gifles, fessées…) font plus de mal que de bien. Néanmoins, le mot ne s’est pas encore répandu dans le monde animal. Et d’après une étude publiée récemment dans Animal Behaviour le 6 avril 2024, les poissons Neolamprologus savoryi pourraient même ne pas être d’accord avec cette vision trop douce de l’éducation. Ces animaux ont en effet couramment recours à des punitions musclées pour que leurs pairs, et notamment leur progéniture, adoptent le comportement voulu. Après la preuve que les daurades ont des sentiments, les poissons rouges capables de conduire ou encore le labre nettoyeur qui sait reconnaître son propre visage, ces recherches apportent une preuve de plus de l’intelligence des poissons.
Ces poissons utilisent des châtiments corporels sur leurs petits
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