Les relations sexuelles entre animaux de même sexe ont été rapportées chez plus de 1500 espèces (manchots, bonobos, gorilles, dauphins, albatros, lions, macaques japonais, etc.) avec de premières observations dès le XVIIIe et de XIXe. Néanmoins, malgré de vraies avancées au cours du XXe et du XXIe siècle, l’idée selon laquelle les animaux gays sont rares a persisté à travers les siècles, apportant des arguments et nourrissant également au passage les débats éthiques autour de l’homosexualité humaine. Le 20 juin 2024, en plein mois des fiertés LGBTQ +, une équipe de chercheurs s’est toutefois penchée sur le sujet et révèle que si les animaux gays ne sont pas rares, c’est plutôt du côté de la science qu’il faut chercher les causes du silence sur l’homosexualité dans le monde animal.
Les animaux gays : courants, mais largement ignorés par la science. Pourquoi ?
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