En effet, bien plus qu’un exercice physique ordinaire, la marche active plusieurs régions cérébrales. Et elle génère divers effets bénéfiques sur le plan neurologique.
Les participants engagés dans une marche rapide pendant 40 minutes, trois fois par semaine, ont observé une augmentation de 2 % du volume de leur hippocampe sur un an. Cette augmentation équivaut à une inversion du vieillissement cérébral. Elle annule ainsi les effets délétères de l’âge, réduisant la perte de mémoire associée et améliorant potentiellement les fonctions cognitives à long terme.
Prendre des pauses régulières permet donc au cerveau de se régénérer, favorisant ainsi une meilleure performance globale. Cela est particulièrement vrai dans les environnements où la concentration prolongée est nécessaire.