Jodie, malgré son amour pour la conduite, se sent parfois isolée. Ses collègues sont souvent plus âgés, et il est difficile pour elle de se lier d’amitié avec eux. Elle passe la plupart de son temps à travailler seule, ce qui peut être pesant. Mais elle ne se laisse pas abattre. Elle continue de conduire des bus, des cars et même des limousines, tout en restant déterminée à briser les stéréotypes associés à son métier.
Pour devenir conductrice de bus, Jodie a dû passer une série de tests rigoureux. « Ce n’est pas aussi facile que les gens pourraient le penser, » dit-elle. Elle a dû passer des tests en anglais et en mathématiques, et compléter environ cinq modules différents avant de pouvoir passer son examen théorique. Son parcours est la preuve que conduire un bus demande bien plus que de savoir manier un volant.