Un pas significatif vers la réalisation de la fusion nucléaire durable a été franchi avec l’amélioration du « soleil artificiel » coréen, appelé KSTAR, pour résister à des températures six fois plus chaudes que le centre du soleil. Cette mise à niveau vise à contribuer au projet de fusion le plus vaste au monde, ITER, impliquant 35 pays, dont les États-Unis.
Contrairement à la fission nucléaire, actuellement utilisée dans le secteur énergétique, la fusion ne génère pas de déchets radioactifs et offre un rendement énergétique significativement plus élevé, produisant trois à quatre fois plus d’énergie. De plus, elle n’émet pas de dioxyde de carbone, réduisant ainsi les impacts environnementaux.
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