Le père pensait que ça durerait une seule séance, mais les trois heures initiales se sont transformées en 30 heures, réparties sur plus de six semaines. Lors de sa première séance, il se souvient avoir demandé au tatoueur si c’était bientôt terminé après plus de trois heures. La réponse de Tony Gibert ? « Oui, on a bientôt fini le contour. » À cause de la taille et de la zone du tatouage, son corps a dû être refroidi à plusieurs reprises pour le soulager de la douleur. Le 9 décembre, Derek et son fils sont retournés voir Tony pour comparer le tatouage au modèle. Tony a exprimé sa satisfaction sur sa page Facebook, disant : « C’est très cool de sa part d’avoir fait ça afin d’aider son fils à prendre confiance. »
Lire la suite sur SantePlusMag