D’abord, tout ce qui est sale ou gras doit être écarté. Les cartons de pizza tachés, les barquettes avec des résidus alimentaires, c’est non ! Ce que l’on oublie souvent, c’est que le recyclage demande une certaine propreté. L’enjeu est de limiter la contamination des matières recyclables. Une tache de gras, et c’est toute une cargaison qui peut être refusée.
Un autre classique : les emballages qui donnent l’illusion d’être recyclables. Les barquettes en plastique noir, par exemple. Eh oui, le noir n’est pas détecté par les capteurs optiques des centres de tri. Résultat : ils finissent incinérés, comme les « petits papiers » laminés que l’on reçoit à foison. Pareil pour les pots de yaourts, qui sont souvent en plastique non recyclable. La morale de l’histoire ? Ce n’est pas parce que c’est en plastique que c’est recyclable. Et parfois, il vaut mieux vérifier deux fois qu’une.
