Elle ne voit pas son métier comme une simple profession, mais comme une véritable vocation. « Si j’arrête de travailler, qui effectuera les opérations chirurgicales ? » me dit-elle. Cela donne le ton : être médecin n’est pas juste un travail pour elle ; c’est un mode de vie. Sa passion est si grande qu’elle n’a pas besoin d’un quelconque secret pour rester en forme et motivée. Comme elle le dit si bien, « Je mange de tout, je ris et je pleure beaucoup ». C’est aussi simple que ça.
Imaginez-vous dans ses chaussures (ou devrais-je dire dans ses gants chirurgicaux !) : après tant d’années, la plupart d’entre nous seraient probablement épuisés, prêts à mettre les pieds sous la table. Mais Alla ? Elle est encore là, en train de sauver des vies et d’inspirer les autres. Sa vie est un témoignage puissant de ce que signifie vraiment aimer ce que l’on fait.