L’image populaire des Vikings évoque souvent des guerriers brutaux et des batailles sanglantes à travers la Scandinavie. Pourtant, une découverte récente bouscule cette vision : la Norvège et le Danemark, deux régions phares de l’ère viking, avaient en réalité des niveaux de violence très différents. Une équipe de chercheurs, dirigée par le sociologue David Jacobson de l’Université de Floride du Sud, a en effet mis en lumière ces distinctions en analysant des restes archéologiques et des squelettes.
Les Vikings, des figures emblématiques de l’histoire médiévale, ont dominé la Scandinavie entre le huitième et le onzième siècle et laissé une empreinte durable sur l’Europe. Bien qu’on les associe souvent à des pillages et des explorations maritimes, leur réalité était bien plus complexe et leurs sociétés variées. Deux des régions les plus influentes de cette époque étaient la Norvège et le Danemark, chacune avec ses propres particularités culturelles, politiques et sociales.