Attaques d’orques : une nouvelle étude réfute la théorie du jeu

Nombreux sont les spécialistes à pencher en faveur d’un comportement récréatif pour expliquer les attaques d’orques à répétition frappant les bateaux au large du détroit de Gibraltar. Une nouvelle étude réfute cette théorie.

Le thon rouge d’Atlantique, poisson d’envergure dépassant facilement les quatre mètres de long et pouvant atteindre une vitesse de 50 km/h, compte parmi les proies principales de l’orque, que celui-ci chasse autour du détroit de Gibraltar, généralement en été et au printemps, lorsque le poisson migre pour se reproduire. Pour profiter de cette abondance de proies, les épaulards suivent ces migrations en utilisant des techniques de chasse parfaitement coordonnées.

Selon les analyses du BDRI, les caractéristiques physiques et hydrodynamiques du thon rouge d’Atlantique seraient similaires à celles d’un bateau, similitudes pouvant expliquer l’attrait des orques pour les navires de taille moyenne évoluant au large du détroit de Gibraltar.

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