Cette recherche, financée par la NASA, a analysé des données satellitaires pour évaluer les précipitations dans et autour de 1 056 des plus grandes villes de la planète entre 2001 et 2020. Les résultats montrent que 63 % de ces zones urbaines enregistrent des précipitations annuelles supérieures à celles des zones rurales environnantes, notamment sous le vent des villes.
Par exemple, Houston reçoit en moyenne près de 13 centimètres de pluie en plus chaque année que les zones rurales voisines. En dehors de Houston, les villes présentant les écarts de précipitations les plus marqués incluent Ho Chi Minh-Ville au Vietnam, Kuala Lumpur en Malaisie, Lagos au Nigéria, ainsi que la région métropolitaine de Miami-Fort Lauderdale-West Palm Beach.
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