Alors que l’intelligence artificielle prend de plus en plus d’ampleur, il semble important de s’assurer que cette technologie ne soit pas trop énergivore. En France, un acteur important vient justement de proposer une méthodologie opérationnelle qui permet d’évaluer l’impact environnemental de l’IA.
« Pour le groupe de travail piloté par l’AFNOR, composé d’une quarantaine d’acteurs emmenés par le Commissariat général au développement durable (La Poste, Hub France IA, Ademe, EcoInfo, etc.), la notion de frugalité passe par la redéfinition des besoins (qu’est-ce qui est nécessaire ?) et des usages (comment mieux utiliser l’IA ?) », peut-on ainsi lire dans le communiqué.
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