« L’objectif était de dépasser l’idée d’un changement climatique qui serait lointain dans le temps et dans l’espace en faisant une synthèse de la littérature scientifique déjà existante », révèle auprès de l’AFP Clara Sannicolo, coautrice de ce rapport.
Selon la carte des risques élaborée dans le rapport, le phénomène d’îlot de chaleur (IDC) touche pratiquement toutes les grandes villes françaises, « tandis que les façades maritimes présentent toutes des risques de submersion ».
Le rapport met également en lumière les pertes potentielles concernant le « patrimoine naturel et culturel », avec des villes côtières « menacées par la montée des eaux ».
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