L’annonce de la dernière puce quantique d’IBM marque une avancée importante dans la technologie quantique. Conçue pour être plus puissante et rapide que ses prédécesseurs, la puce R2 Heron, avec ses 156 qubits, pourrait transformer de nombreux domaines scientifiques, de la chimie aux sciences de la vie en passant par la physique des matériaux.
De plus, les qubits peuvent s’intriquer, un phénomène quantique par lequel deux qubits, même à distance, partagent un lien qui les rend interdépendants. Cette intrication permet de réaliser des opérations exponentiellement plus puissantes que celles réalisées par les ordinateurs traditionnels. Les portes quantiques, les unités de calcul au sein d’un processeur quantique, permettent ainsi de traiter des calculs en parallèle, ce qui est crucial pour les simulations scientifiques de grande envergure.