Les girafes sont depuis longtemps considérées comme une seule espèce divisée en neuf sous-espèces. Pourtant, des études récentes ont bouleversé cette vision. En 2016, une analyse génétique avait notamment révélé qu’il existait en réalité quatre espèces distinctes de girafes. Ces conclusions ont été renforcées par une nouvelle recherche sur la morphologie crânienne des girafes qui a confirmé cette classification révolutionnaire. Cette découverte ne se limite pas à enrichir nos connaissances biologiques, elle a aussi des implications cruciales pour la conservation de ces animaux emblématiques.
Cette découverte avait provoqué une véritable onde de choc dans le monde scientifique, remettant en question des décennies de taxonomie et obligeant les experts à revoir leur compréhension de l’évolution et de la distribution des girafes. Toutefois, cette avancée n’était que la première étape. Il fallait encore des preuves complémentaires pour consolider cette classification.