Au contraire, ces installations améliorent la qualité des sols, stimulent la croissance de la végétation et créent un microclimat plus favorable. L’équipe a utilisé le modèle DPSIR (Driving forces-Pressures-State-Impact-Response), un cadre développé par l’Agence européenne pour l’environnement, pour analyser les interactions complexes entre la ferme solaire et son environnement.
En examinant 57 indicateurs environnementaux, dont la composition du sol, la température, l’humidité et la biodiversité, les chercheurs ont obtenu des informations précieuses sur la manière dont les panneaux solaires peuvent transformer positivement les paysages arides.
L’étude montre comment les installations solaires peuvent soutenir la biodiversité de manière inattendue. Dans le cas du parc photovoltaïque de Gonghe, les plantes et les micro-organismes ont prospéré sous la canopée protectrice des panneaux solaires. Cela démontre que le développement des énergies renouvelables peut coexister avec la restauration écologique.