Au Royaume-Uni, un institut de recherche tente de contribuer à l’abandon des expérimentations animales à des fins médicales. Les chercheurs ont eu recours à l’impression 3D pour étudier différentes formes de cancer et plus précisément la propagation des cellules cancéreuses.
« Les implications vont au-delà de la seule recherche sur le cancer. Les principes et techniques développés dans ce travail pourraient potentiellement être appliqués à l’étude d’autres maladies qui affectent le tissu osseux, tout en réduisant notre dépendance aux modèles animaux », peut-on lire dans le communiqué.
La fabrication de ce type de dispositifs intègre deux matériaux : le PLGA et le HA-PLGA. Le premier, défini comme étant un polymère intelligent, est biodégradable et sert de base au modèle osseux. Le second est un mélange de PLGA et d’hydroxyapatite, un phosphate de calcium présent naturellement dans les os. Les structures imprimées semblent donc plus réalistes et s’approchent au maximum du tissu osseux naturel.