Dans une enquête récente, l’association UFC-Que Choisir a souligné la présence d’un polluant éternel dans l’eau du robinet de nombreuses communes françaises. Or, la présence de cette substance est relative à l’utilisation d’un herbicide en particulier, reconnu depuis peu comme étant un perturbateur endocrinien.
Or, il s’avère que contrairement à certains autres PFAS, il est plus difficile de retirer le TFA de l’eau grâce aux techniques de décontamination de l’eau, qu’il s’agisse de procédés ayant recours au charbon actif ou encore de filtration membranaire. Cette difficulté réside dans le fait que le TFA est un PFAS à chaîne courte, c’est-à-dire contenant moins d’atomes de carbone, ce qui rend la molécule très mobile et très petite.
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