À des milliers de kilomètres sous nos pieds, le noyau de la Terre pourrait ne pas être aussi stable qu’on le pensait. Une étude récente, publiée dans Nature Geoscience par des chercheurs de l’Université de Californie du Sud (USC), révèle en effet des changements structurels inattendus au cœur de notre planète.
La Terre est composée de plusieurs couches : la croûte (où nous vivons), le manteau, le noyau externe (liquide et en fusion), et enfin, à environ 4 800 km de profondeur, le noyau interne. Ce dernier est composé principalement de fer et de nickel. Il était en outre considéré jusqu’à présent comme un bloc solide, figé dans le temps.
Lire la suite sur SciencePost