Pendant des années, j’ai cru que le bonheur se mesurait en fonction de ce que l’on accumule : plus de biens matériels, plus de reconnaissance, plus de succès. Je pensais que le bonheur était un objectif à atteindre, une récompense pour ceux qui parvenaient à en avoir toujours plus. Cependant, à mesure que j’avançais dans cette quête incessante, une étrange sensation de vide commençait à m’envahir. Les choses extérieures, les accomplissements, ne me procuraient plus la satisfaction que j’espérais.
J’ai alors pris le temps d’observer d’autres personnes, souvent celles qui avaient peu de biens matériels, mais une lumière dans leurs yeux et un calme intérieur que j’admirais. Elles ne semblaient pas courir après plus, mais leurs vies étaient marquées par une paix profonde, comme si elles avaient trouvé une sorte de secret.