Les chercheurs ont constaté que les personnes émotionnellement distantes de leurs parents étaient significativement plus susceptibles de se considérer comme sans enfants. À l’inverse, celles exprimant un attachement plus anxieux envers leurs parents étaient légèrement moins enclines à renoncer à la parentalité.
L’étude révèle également que les individus ayant différents styles d’attachement justifient leur choix de ne pas avoir d’enfants pour des raisons variées, allant de problèmes de santé mentale à un désir de liberté personnelle.
La décision de ne pas avoir d’enfant devient de plus en plus courante, notamment dans les sociétés industrialisées. Si certaines personnes restent sans enfant en raison de circonstances indépendantes de leur volonté, les personnes dites « sans enfant » se définissent par une décision active et délibérée de ne pas devenir parents, que ce soit par voie biologique, adoptive ou autre.