Aux États-Unis, un étudiant a effectué une découverte
importante en procédant à une expérience simple de manipulation de
deux liquides présentant différents niveaux de densité. Le jeune
homme est à l’origine du tout premier liquide auto-formant de
l’Histoire, une découverte qui pourrait peut-être s’avérer utile à
l’avenir.
Pour rappel, l’eau à 4°C incarne la valeur de
référence avec une masse volumique fixée à 1000 kg/m3.
Outre l’huile (920 kg/m3) certains liquides sont plus léger que
l’eau, par exemple l’essence (750 kg/m3) et l’acétone (790 kg/m3).
D’autres sont en revanche plus lourds, notamment le lait (1030
kg/m3) et la glycérine (1260 kg/m3).
Dans son tube à essai, Anthony Raykh a placé de l’eau et de
l’huile mais également, un troisième élément : de petites
particules de nickel. Or, grâce à leur charge magnétique,
ces particules ont joué un rôle de barrière entre l’eau et l’huile.
Surtout, le nickel a donné une forme de vase (ou d’urne) au
liquide, une courbure extrême du fait de l’apparition d’une
chaîne de dipôles. Or, ce résultat obtenu par hasard
n’avait jamais été observé auparavant.