« Ce phénomène n’est pas une fatalité dans nos aires marines protégées. Il pourrait prendre fin demain, si nous le décidions, et ce serait bénéfique pour tous les êtres vivants de la planète », a déclaré le directeur Toby Nowlan.
On y voit poissons, céphalopodes et raies fuir le mur de destruction qui les menace, tandis que le métal et les cordages anéantissent des écosystèmes qui mettent des années à se reconstituer.
Un spectacle difficile à regarder, même pour les experts qui ont consacré leur vie à la recherche marine.
Malgré la présence de 565 AMP couvrant 33 % de la zone économique exclusive française, seulement 1,6 % de ces zones bénéficient d’une protection forte ou intégrale interdisant des activités comme le chalutage .
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