Ceux qui s’épanouissent après 60 ans perçoivent l’âge comme un élan, et non comme une limite. Ma voisine Denise a eu 69 ans le mois dernier. Au lieu d’un dîner tranquille, elle a organisé une soirée « essayez quelque chose de nouveau » : poterie à 15 heures, escalade en salle à 17 heures et karaoké à 19 heures. En la regardant chanter un refrain puissant, j’ai remarqué quelque chose de frappant : Denise n’ajoute pas simplement des bougies à un gâteau. Elle augmente les intérêts de la vie.
Les recherches ne cessent de répéter le même slogan : l’âge est un multiplicateur, pas un limitateur. Lorsque nous canalisons notre expérience vers des habitudes délibérées, les bénéfices en termes de santé, de joie et d’autonomie augmentent plus rapidement que ceux de n’importe quel fonds indiciel que j’ai analysé à l’époque où j’étais financier.