Pour Luca, si ces coups étaient justifiés, c’est en raison de l’inaction des adultes. « Je savais que l’enseignant ne ferait rien alors j’ai dû l’empêcher de m’intimider » explique-t-il à sa mère. Cette dernière l’a remercié de son honnêteté avant de lui donner d’autres manières de gérer ce harcèlement sans violence. Seulement, elle est heureuse que son fils ait su se défendre. « Etais-je fière ? Oui, un petit peu. Je sais que la violence n’est pas la solution mais je sais aussi qu’il faut tenir tête face aux brutes » écrit-elle aux internautes.
En continuant sur sa lancée, Laura Mazza défend son fils en expliquant qu’il n’est pas d’un naturel violent. Elle continue : « Il n’est pas du genre à frapper quelqu’un par hasard ou à intimider qui que ce soit ». La mère raconte à ses abonnés qu’il est plutôt « doux de nature » et que toute sa vie, elle ne l’a jamais vu frapper quelqu’un sans qu’il ne le provoque. Certains parents participent au débat en soutenant la mère. Un internaute a écrit : « Bien joué ! Il l’a bien géré et vous aussi. Certains enfants repoussent les limites et ne voient jamais les répercussions de leur comportement ». D’autres déplorent l’inaction des enseignants face à la tyrannie de certains intimidateurs. Seulement, un parent a exprimé son désaccord en défendant une approche moins violente. Pour lui, il était plus pertinent de se rendre chez son professeur. « Comment sait-il qu’il ne ferait rien ? » interpelle-t-il.