Les quantités de carbone capturées et stockées par les technologies visant à lutter contre le changement climatique ont été surestimées d’un quart sur les vingt dernières années. C’est en tout cas ce que rapporte une étude parue dans la revue Environmental Science & Technology Letters ce 14 juillet.
L’élimination du dioxyde de carbone de l’atmosphère (abrégé en CDR pour Carbon Dioxyde Removal) et la capture et séquestration du carbone (CCS pour Carbon Capture and Storage) sont des méthodes permettant respectivement de retirer du CO2 de l’atmosphère, donc de produire des émissions négatives, et de limiter les émissions de CO2 à la source, par exemple dans le cas d’une centrale électrique à charbon où les émanations sont captées et séquestrées sous terre.