Réalisée par Shani Agron de l’Institut des sciences Weizmann en Israël, cette recherche indique que respirer les larmes des femmes entraîne une diminution de l’activité cérébrale associée à l’agressivité, induisant ainsi un comportement moins agressif.
Cet exemple illustre un processus de communication chimique sociale largement observé chez les animaux, mais moins étudié, ou moins compris, chez les êtres humains.
Pour déterminer l’impact des larmes sur les individus, des chercheurs ont exposé un groupe d’hommes aux larmes émotionnelles de femmes, tandis qu’un autre groupe était exposé à une solution saline.
Le jeu a été spécialement conçu pour inciter les hommes à adopter un comportement agressif envers leur adversaire, étant persuadés que ce dernier était en train de tricher.