Ce système de dessalement repose sur l’utilisation d’hydrogels d’ADN intelligents, ne nécessitant aucune source d’énergie supplémentaire. Par rapport aux méthodes conventionnelles comme l’osmose inverse, qui consomment d’importantes quantités d’énergie, cette nouvelle approche semble plus économique sur le plan énergétique.
Par ailleurs, les chercheurs ont également indiqué que le même procédé pourrait être appliqué simultanément pour extraire de l’uranium de l’eau de mer ou pour traiter les eaux usées nucléaires contenant de l’uranyle.
Le nouveau concept alimenté par l’énergie solaire, qui fabrique une matrice d’hydrogel d’ADN, intègre la capacité d’absorber la lumière du soleil et de réduire la quantité d’énergie nécessaire pour évaporer l’eau.