Une équipe dirigée par Alexander Do, de l’université Baylor, a opté pour une approche innovante pour aborder ce problème. Cette recherche, menée dans le cadre de sa thèse de fin d’études et supervisée par les docteurs Michael K. Scullin et Sarah Schnitker, s’est concentrée non pas sur les conséquences négatives du manque de sommeil, mais sur les bénéfices que peut apporter un sommeil de qualité.
« Cette étude est captivante car elle enrichit notre compréhension des effets de la privation et de la prolongation du sommeil sur la santé, en y incluant des variables liées à la création de communautés morales prospères », a ajouté Schnitker.
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