Dernièrement, les scientifiques d’une étude écossaise ont affirmé que l’exposition au dioxyde d’azote, entre autres, avant également un lien avec un nombre non négligeable d’hospitalisations en psychiatrie. Ces recherches appuient d’autres études antérieures qui avaient déjà établi un lien entre pollution atmosphérique et santé mentale.
Les auteurs ont collecté les données relatives à 202 237 personnes de plus de dix-sept ans, des informations concernant leur état de santé et leurs admissions à l’hôpital entre 2002 et 2017 pour différentes maladies respiratoires, infectieuses, mentales ou encore troubles du comportement. Or, les chercheurs ont analysé les conséquences de quatre polluants majeurs : dioxyde d’azote (NO2), dioxyde de soufre (SO2), ainsi que deux sortes de particules fines (PM10 et PM2,5).