En 2026, la Chine prévoit de marquer un jalon historique dans l’exploration spatiale avec la mission lunaire Chang’e 7. Parmi ses objectifs ambitieux figure l’installation d’un drapeau capable de flotter sur la surface lunaire, un exploit qui relève de prouesses technologiques avancées. Contrairement à la Terre où les drapeaux bougent au gré du vent, l’absence d’atmosphère sur la Lune pose en effet un défi unique. Mais alors, comment les ingénieurs vont-ils s’y prendre ?
Au-delà de sa portée symbolique, cette innovation représente une avancée en matière d’ingénierie. Elle témoigne en effet de la capacité de la Chine à relever des défis technologiques complexes dans des environnements extrêmes. Le drapeau flottant incarne à la fois une démonstration de savoir-faire et une manière de renforcer l’identité nationale dans un contexte de compétition internationale accrue dans le domaine spatial.
