Lors d’une entrevue tout à fait honorable avec une call girl, Neal Falls, qui était armé d’un flingue, commence à étrangler la jeune femme. Mais le malheureux Neal ne savait pas encore qu’il était tombé sur une virulente greluche qui eut l’outrecuidance de lui prendre son gun et de le buter. Vraiment les victimes aujourd’hui n’ont plus aucun respect du meurtre bien fait. Elle appelle donc la police qui fouille la voiture du triste défunt et y découvre un bel attirail de serial killerie. Nous sommes le 18 juillet 2015, et l’Amérique est endeuillée.
Les tatouages, c’est sympa, si, si, je vous assure je trouve ça plutôt chouette. Mais c’est vrai qu’il y a des tatouages moins bien que d’autres. Par exemple, quand Anthony Garcia fait un hold-up dans une épicerie et finit par tuer le gérant, on se demande si c’est vraiment nécessaire qu’il se tatoue la scène de crime dans les moindres détails sur le torse. Il aura peut-être échappé pendant 4 ans à la police, mais il suffira d’une fois, d’une toute petite fois où Anthony conduisait sans permis pour être bêtement arrêté, bêtement photographié et bêtement grillé avec ce tatouage rappelant étrangement la scène de crime ayant lieu quelques années plus tôt et dont la police cherchait encore le coupable.